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Organisme Interprofessionnel "d'autodiscipline publicitaire", le BVP propose un code de déontologie pour responsabiliser les annonceurs sur internet
Plus de cinq ans après une première série de recommandations, le BVP, un organisme Interprofessionnel "d'autodiscipline publicitaire" vient de mettre à disposition un code de déontologie pour responsabiliser les annonceurs sur internet. Ce code couvre non seulement la publicité sur le web, qu'il s'agisse de bannières ou de liens sponsorisés, mais s'intéresse également au marketing direct, par e-mail, SMS ou MMS.
Ce code n'aborde pas la question des formats, qui est plutôt du domaine de l'IAB, mais invite essentiellement les annonceurs à faire preuve de transparence auprès des internautes en se présentant et en signalant clairement qu'une bannière ou qu'un lien est de nature publicitaire. Le BVP profite également de l'occasion pour dénoncer les formats les plus intrusifs comme les pop-up, les bannières sonores ou les bannières flash les plus agressives.
Plus classiquement, le BVP invite les annonceurs à ne pas "valoriser des comportements illicites, agressifs, dangereux ou antisociaux" qui pourraient par exemple "dévaloriser l'autorité des parents", "présenter des enfants de façon dégradante", "présenter des images indécentes ou violentes" ou encore "exploiter l'inexpérience et la crédulité du jeune public".
Même si ces principes seront suivis par la majorité des annonceurs, ils seront hélas sans conséquence sur les émetteurs de spams dont les messages publicitaires non désirés sont généralement à l'opposé des recommandations du BVP...
Plus de cinq ans après une première série de recommandations, le BVP, un organisme Interprofessionnel "d'autodiscipline publicitaire" vient de mettre à disposition un code de déontologie pour responsabiliser les annonceurs sur internet. Ce code couvre non seulement la publicité sur le web, qu'il s'agisse de bannières ou de liens sponsorisés, mais s'intéresse également au marketing direct, par e-mail, SMS ou MMS.
Ce code n'aborde pas la question des formats, qui est plutôt du domaine de l'IAB, mais invite essentiellement les annonceurs à faire preuve de transparence auprès des internautes en se présentant et en signalant clairement qu'une bannière ou qu'un lien est de nature publicitaire. Le BVP profite également de l'occasion pour dénoncer les formats les plus intrusifs comme les pop-up, les bannières sonores ou les bannières flash les plus agressives.
Plus classiquement, le BVP invite les annonceurs à ne pas "valoriser des comportements illicites, agressifs, dangereux ou antisociaux" qui pourraient par exemple "dévaloriser l'autorité des parents", "présenter des enfants de façon dégradante", "présenter des images indécentes ou violentes" ou encore "exploiter l'inexpérience et la crédulité du jeune public".
Même si ces principes seront suivis par la majorité des annonceurs, ils seront hélas sans conséquence sur les émetteurs de spams dont les messages publicitaires non désirés sont généralement à l'opposé des recommandations du BVP...
