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Le marché du cybercrime, des actes de délinquance à la grande criminalité, est désormais une réalité tangible, observent messieurs Franchin et Monnet.
Les délits et crimes perpétrés par le biais d'Internet sont devenus un véritable "business", si l'on en croit Franck FRANCHIN, Directeur délégué à la division sécurité de France Télécom, et Rodolphe MONNET, Président d'Intelrisk.com.
Spécialistes des problématiques d'intelligence économique, messieurs FRANCHIN et MONNET observent dans leur livre "Le business de la cybercriminalité" (Ed Hermes - Lavoisier, 2005), que les structures qui tirent profit du cybercrime s'adaptent "très dynamiquement aux évolutions technologiques du secteur".
Les co-auteurs axent leur analyse sur : les acteurs et leurs logiques (de la déviance à la criminalisation des hackers), les tentatives étatiques pour garantir "la confiance numérique", le marché et les modes opératoires de la cybercriminalité (piratage, sabotage, espionnage).
Les modes de diffusion les plus connus sont : les spams (courriels commerciaux non sollicités), les virus informatiques (vers et chevaux de Troie), les réseaux d'ordinateurs "zombies" contrôlés à distance, le "phishing" (vol d'identité et fraude à la carte bancaire), les forums et communautés en ligne (pédo-pornographie, contrebande et contrefaçon, blanchiment d'argent, promotion du terrorisme...)
Selon Franck FRANCHIN et Rodolphe MONNET, la professionnalisation des métiers et la spécialisation des compétences "permettent à des organisations officielles et officieuses de monétiser des actions déviantes et de s'approprier ou de s'allouer les services techniques de ces acteurs, pirates ou hackers".
En outre, le marché de la cybercriminalité, des actes de délinquance à la grande criminalité, "est une réalité tangible promise à une forte croissance à venir".
Pour protéger ses acquis, d'une part, innover, d'autre part, la société de l'information devra se donner les moyens humains et matériels de freiner l'augmentation de la délinquance et du crime dans le cyberespace.
Les délits et crimes perpétrés par le biais d'Internet sont devenus un véritable "business", si l'on en croit Franck FRANCHIN, Directeur délégué à la division sécurité de France Télécom, et Rodolphe MONNET, Président d'Intelrisk.com.
Spécialistes des problématiques d'intelligence économique, messieurs FRANCHIN et MONNET observent dans leur livre "Le business de la cybercriminalité" (Ed Hermes - Lavoisier, 2005), que les structures qui tirent profit du cybercrime s'adaptent "très dynamiquement aux évolutions technologiques du secteur".
Les co-auteurs axent leur analyse sur : les acteurs et leurs logiques (de la déviance à la criminalisation des hackers), les tentatives étatiques pour garantir "la confiance numérique", le marché et les modes opératoires de la cybercriminalité (piratage, sabotage, espionnage).
Les modes de diffusion les plus connus sont : les spams (courriels commerciaux non sollicités), les virus informatiques (vers et chevaux de Troie), les réseaux d'ordinateurs "zombies" contrôlés à distance, le "phishing" (vol d'identité et fraude à la carte bancaire), les forums et communautés en ligne (pédo-pornographie, contrebande et contrefaçon, blanchiment d'argent, promotion du terrorisme...)
Selon Franck FRANCHIN et Rodolphe MONNET, la professionnalisation des métiers et la spécialisation des compétences "permettent à des organisations officielles et officieuses de monétiser des actions déviantes et de s'approprier ou de s'allouer les services techniques de ces acteurs, pirates ou hackers".
En outre, le marché de la cybercriminalité, des actes de délinquance à la grande criminalité, "est une réalité tangible promise à une forte croissance à venir".
Pour protéger ses acquis, d'une part, innover, d'autre part, la société de l'information devra se donner les moyens humains et matériels de freiner l'augmentation de la délinquance et du crime dans le cyberespace.
