Après l'entrée puis le haut de gamme, Synology se penche désormais sur le milieu de gamme avec le lancement du « DS412+ », son nouveau NAS à quatre baies destiné aux PME.
233 x 203 x 165 mm pour 2 kg
Le « DiskStation DS412+ » partage une part importante de sa fiche technique avec les récents DS1512+ et DS1812+. Il abrite donc une plateforme Cedar Trail, incarnée par un processeur Atom D2700, un bi-cœur Hyper-Threading cadencé à 2,13 GHz, et épaulée par 1 Go de mémoire vive.
Sa connectique est moins riche mais comporte les mêmes interfaces, en l'occurrence un port eSATA, un port USB 2.0, deux ports USB 3.0 mais aussi et surtout deux ports Gigabit Ethernet qu'il combine pour revendiquer des taux de transfert d'environ 200 Mo/s en lecture et 180 Mo/s en écriture.
Par rapport à son prédécesseur, le DS411+ II, il bénéficie notamment d'un boîtier similaire aux DS112 et DS212. Au-delà des quatre emplacements pour disques durs Serial ATA au format 3,5 pouces, on retrouve tout particulièrement deux ventilateurs amovibles de 92 mm, que l'utilisateur final peut aisément dépoussiérer et/ou remplacer. À ce titre, il ne générerait que 19,4 dBA pour une consommation de 15 W au repos ou de 44 W en activité.
L'ensemble exécute naturellement le tout récent micrologiciel unifié DiskStation Manager 4.0 (DSM 4.0), qui offre toute une panoplie de fonctionnalités pour le stockage, le multimédia mais aussi et surtout l'entreprise, avec la prise en charge des domaines Windows et de la virtualisation Citrix, Hyper-V ou VMWare.
Le « Synology DiskStation DS412+ » est d'ores et déjà commercialisé au prix public de 600 euros.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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