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Les autorités américaines estiment que « Messenger Service », une fonction du système d'exploitation de Microsoft, permettrait à des entreprises peu scrupuleuses d'envoyer en masse des messages électroniques commerciaux non-sollicités (spams) aux utilisateurs de PC sous Windows connectés au Net.
La fonction « Messenger Service » de Windows avait été conçue à l'origine pour permettre aux administrateurs d'envoyer des messages sous forme de « pop-ups »
(ces fenêtres s'ouvrent soudainement à l'écran) aux personnes connectées au réseau dont ils ont la charge.
C'est à travers cette fonction que des spammeurs auraient découvert la faille leur permettant de transmettre des « pop ups » non souhaités à caractère commercial et/ou pornographique.
La FTC (Federal Trade Commission) estime que « l'utilisation très répandue » de cette fonction pose « problème ». Elle a cependant souhaité lors d'une conférence de presse « répondre aux inquiétudes des consommateurs ».
Des plaintes concernant Messenger Service ont poussé le fournisseur d'accès Internet AOL, lui-même, à prendre des mesures destinées à désactiver cette fonction sur les PC de ses abonnés aux Etats-Unis.
Après d'autres plaintes déposées à ce sujet en octobre dernier par des organisations de consommateurs, le numéro un mondial de l'édition logicielle a laissé entendre qu'il pourrait livrer début 2004 une mise à jour de Windows qui désactive Messenger Service.
La direction de Microsoft n'a pas toutefois souhaité participer au point presse organisé jeudi par l'agence fédérale du commerce.
A travers un de ses porte-parole, l'éditeur américain a simplement déclaré « se féliciter que la FTC poursuive ses efforts pour tenir informer les consommateurs ».
La fonction « Messenger Service » de Windows avait été conçue à l'origine pour permettre aux administrateurs d'envoyer des messages sous forme de « pop-ups »
(ces fenêtres s'ouvrent soudainement à l'écran) aux personnes connectées au réseau dont ils ont la charge.
C'est à travers cette fonction que des spammeurs auraient découvert la faille leur permettant de transmettre des « pop ups » non souhaités à caractère commercial et/ou pornographique.
La FTC (Federal Trade Commission) estime que « l'utilisation très répandue » de cette fonction pose « problème ». Elle a cependant souhaité lors d'une conférence de presse « répondre aux inquiétudes des consommateurs ».
Des plaintes concernant Messenger Service ont poussé le fournisseur d'accès Internet AOL, lui-même, à prendre des mesures destinées à désactiver cette fonction sur les PC de ses abonnés aux Etats-Unis.
Après d'autres plaintes déposées à ce sujet en octobre dernier par des organisations de consommateurs, le numéro un mondial de l'édition logicielle a laissé entendre qu'il pourrait livrer début 2004 une mise à jour de Windows qui désactive Messenger Service.
La direction de Microsoft n'a pas toutefois souhaité participer au point presse organisé jeudi par l'agence fédérale du commerce.
A travers un de ses porte-parole, l'éditeur américain a simplement déclaré « se féliciter que la FTC poursuive ses efforts pour tenir informer les consommateurs ».