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Lors d'une conférence à Copenhague le 26 juin dernier, le Danemark a passé la main à la France pour présider jusqu'en juillet 2004 EUREKA, initiative européenne de coopération en matière de R&D et d'innovation.
Désormais, 34 pays sont membres de cette initiative intergouvernementale privilégiant les thèmes de recherche proposés par les industriels.
Jean-Paul JACAMON, ancien vice-président de Schneider Electric, sera chargé d'assurer au mieux la présidence française afin qu'EUREKA "s'impose enfin au sein de l'Espace européen de la recherche", en parallèle au PCRD (Programme cadre de recherche et développement de l'Union européenne).
Pour l'année 2002/2003, sous présidence danoise, les entreprises françaises ont fait bonne figure, notamment les PME-PMI des technologies innovantes. Sur 37 projets à participation française, 7 ont été initiés par de grandes entreprises et 30 par des PME principalement originaires d'Ile-de-France.
Par ailleurs, grâce au rapprochement du Secrétariat français EUREKA et de l'ANVAR, "Agence française de l'innovation" (www.anvar.fr), plus de petites et moyennes entreprises participent à cette initiative européenne de recherche.
Un exemple concret : le prix EUREKA Lynx 2003, "couronnant une PME ayant connu un développement exceptionnel suite à un projet du programme", a été décerné à Genolife, entreprise auvergnate de biotechnologies (www.genolife.com).
Pour l'année 2003, en plus des 167 nouveaux projets européens proposés à l'initiative des industriels, figurent les "clusters", de grands projets stratégiques sur des thèmes précis : Medea+ (micro-électronique), Itea (logiciels middleware), Pidea (interconnexion et packaging) et Eurimus (microsystèmes). Ces coopérations représentent un investissement global "de plus de 3 milliards d'euros."
"EUREKA constitue un élément politique structurant au service de la construction européenne. C'est un outil privilégié sur lequel nous devons capitaliser pour accroître notre potentiel de R&D et d'innovation face à la concurrence mondiale, et pour atteindre l'objectif de 3% du PIB en dépenses de R&D à l'horizon 2010", a déclaré Claudie HAIGNERE, ministre déléguée à la recherche et aux nouvelles technologies, lors d'une conférence de presse le 9 juillet dernier.
La France passera le relais de la présidence du programme EUREKA aux Pays-Bas à la fin du mois de juin 2004.
Désormais, 34 pays sont membres de cette initiative intergouvernementale privilégiant les thèmes de recherche proposés par les industriels.
Jean-Paul JACAMON, ancien vice-président de Schneider Electric, sera chargé d'assurer au mieux la présidence française afin qu'EUREKA "s'impose enfin au sein de l'Espace européen de la recherche", en parallèle au PCRD (Programme cadre de recherche et développement de l'Union européenne).
Pour l'année 2002/2003, sous présidence danoise, les entreprises françaises ont fait bonne figure, notamment les PME-PMI des technologies innovantes. Sur 37 projets à participation française, 7 ont été initiés par de grandes entreprises et 30 par des PME principalement originaires d'Ile-de-France.
Par ailleurs, grâce au rapprochement du Secrétariat français EUREKA et de l'ANVAR, "Agence française de l'innovation" (www.anvar.fr), plus de petites et moyennes entreprises participent à cette initiative européenne de recherche.
Un exemple concret : le prix EUREKA Lynx 2003, "couronnant une PME ayant connu un développement exceptionnel suite à un projet du programme", a été décerné à Genolife, entreprise auvergnate de biotechnologies (www.genolife.com).
Pour l'année 2003, en plus des 167 nouveaux projets européens proposés à l'initiative des industriels, figurent les "clusters", de grands projets stratégiques sur des thèmes précis : Medea+ (micro-électronique), Itea (logiciels middleware), Pidea (interconnexion et packaging) et Eurimus (microsystèmes). Ces coopérations représentent un investissement global "de plus de 3 milliards d'euros."
"EUREKA constitue un élément politique structurant au service de la construction européenne. C'est un outil privilégié sur lequel nous devons capitaliser pour accroître notre potentiel de R&D et d'innovation face à la concurrence mondiale, et pour atteindre l'objectif de 3% du PIB en dépenses de R&D à l'horizon 2010", a déclaré Claudie HAIGNERE, ministre déléguée à la recherche et aux nouvelles technologies, lors d'une conférence de presse le 9 juillet dernier.
La France passera le relais de la présidence du programme EUREKA aux Pays-Bas à la fin du mois de juin 2004.
