Qnap annonce enfin aujourd'hui le renouvellement de sa famille de NAS d'entrée de gamme. Après s'être concentré l'année dernière sur l'architecture x86 en lançant une multitude de modèles s'articulant exclusivement autour d'un processeur Intel Atom, le fabricant renoue désormais avec l'architecture ARM, moins onéreuse.
Outre le nombre de disques durs Serial ATA au format 3,5 pouces qu'ils peuvent accueillir, le « TS-112 » à un seul emplacement, le « TS-212 » à deux emplacements et le « TS-412 » à quatre emplacements partagent la même fiche technique. Ils abritent effectivement une puce tout-en-un (SoC) Marvell 6281 cadencée à 1,2 GHz, 256 Mo de mémoire vive DDR2 et 16 Mo de mémoire interne pour le micrologiciel.
Au rang de la connectique, on retrouve un (TS-112 et 212) ou deux (TS-412) ports Ethernet Gigabit, un port USB 2.0 frontal couplé à un bouton configurable et deux (TS-112 et 212) ou trois (TS-412) ports USB 2.0 sur le panneau arrière. Le dos du TS-212 et du TS-412 arborent en sus respectivement un et deux ports eSATA. Le bloc d'alimentation est enfin externe sur ces modèles.
Au cœur de votre installation multimédia
Destinés à un environnement domestique, ces serveurs de stockage en réseau mettent l'accent sur le partage de contenus multimédias (photos, vidéos, musique) sur le réseau local, notamment à destination d'une PlayStation 3 ou d'une Xbox 360 au moyen de la norme DLNA, mais aussi vers un smartphone via Internet, au moyen d'une application iOS par exemple.
Adaptés aux travailleurs indépendants, ils permettent aussi de centraliser des sauvegardes ou d'héberger un site Internet.
Les Qnap TS-112, TS-212 et TS-412 sont disponibles aux Etats-Unis pour respectivement 180, 260 et 460 dollars. Leurs prix et date de sortie en France ne sont malheureusement pas connus.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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