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AMD, qui a embrassé le 40 nm pour sa dernière génération de cartes graphiques, a subit de plein fouet les problèmes de rendement du fondeur TSMC, auquel il a confié la totalité de la production de GPU.
La poudre aux yeux de NVIDIA a quant à elle fait illusion, puisque le caméléon de Santa Clara a gagné 6 points de part de marché d'une année à l'autre, en s'étant contenté de renommer d'anciennes cartes graphiques.
Non content de surplomber le marché du processeur, dont il détient 80% des parts, Intel est également leader du marché de la carte graphique, avec 47,7% des parts au quatrième trimestre 2010. Le géant du semi-conducteur a pu compter sur les ventes de netbooks, ainsi que sur un regain d'intérêt du marché des ordinateurs de bureau, dont le système d'exploitation Windows 7 tire désormais parti de leur aptitude à accélérer le décodage des vidéos haute définition.
Au global, le marché de la carte graphique a progressé de 14% par rapport à l'année précédente, au-delà des attentes.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique. Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit. Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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