Alors que la plupart de ses concurrents avaient profité du CES 2010 pour renouveler leurs gammes d'appareils photo numériques compacts, Samsung avait réservé l'événement à son appareil photo hybride, le Samsung NX10. Ce n'est donc qu'aujourd'hui que le coréen renouvelle le gros de sa gamme, sur laquelle stabilisation optique et automatismes dits intelligents sont généralisés.
Les Samsung WB650 et WB600 embarquent de puissants zooms d'une amplitude de pas moins de 15 fois, qui se paient le luxe d'être grand angle en démarrant à un équivalent 24 mm. Ils abritent tous deux un capteur de 12,2 millions de pixels et tournent en HD 720p au format H.264. Le WB650 se distingue du WB600, muni d'un écran LCD de 3 pouces, par son écran AMOLED de 3 pouces, offrant une meilleure lisibilité en plein jour, et par son récepteur GPS, permettant de géolocaliser ses clichés.
Les Samsung ST70 et ST60 se contentent quant à eux de zooms raisonnables 5 fois, démarrant à 27 mm, au profit d'une plus grande compacité, puisqu'ils affichent une épaisseur de 16,5 mm. Munis respectivement de capteurs de 14,2 et 12,2 millions de pixels, ils conservent malgré tout l'aptitude à filmer en haute définition. Leur écran mesure enfin 2,7 pouces et affiche 230 000 points.
Le Samsung PL80 ferme la marche avec un zoom 5 fois (équivalent à un 28-140 mm), le capteur de 12,2 millions de pixels et l'écran de 2,7 pouces à 230 000 points. Il perd au passage la vidéo haute définition et doit se contenter de films VGA en Motion JPEG. Ce modèle sera commercialisé en Europe au mois de mars au prix public de 130 livres sterling (150 euros au cours actuel).
Le Samsung WB650 sera lancé au mois d'avril au prix public de 380 euros, le WB600 en mars pour 330 euros, le ST70 en mars pour 200 euros, le ST60 en avril pour 170 euros et le PL80 en mars pour 150 euros.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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