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Le premier téléphone modulaire ? En parallèle du Ceatec, l'opérateur NTT Docomo a permis vendredi à quelques journalistes de pénétrer dans l'un de ses salons d'exposition dédiés à l'avenir de la téléphonie mobile. Entre autres démonstrations liées au paiement sans contact, au jeu sur mobile ou à la réalité augmentée, on trouvait un étonnant prototype de téléphone à clapet dont les deux parties s'assemblent et se désassemblent à loisir grâce à un système d'aimants. D'un côté, on retrouve un écran tactile, et de l'autre un pavé qui embarque le clavier, les deux éléments restant en contact permanent grâce à une liaison Bluetooth.
Pourquoi séparer l'écran du clavier ? Pour NTT, un tel facteur de forme faciliterait la vie de l'usager, en lui permettant par exemple de passer une communication téléphonique avec la partie clavier tout en consultant ses emails, surfant sur Internet ou regardant la télévision sur l'écran tactile. Autre piste envisagée : la possibilité de moduler les éléments, en s'équipant par exemple d'un plus grand écran lorsqu'on souhaite jouer sur son mobile, ou d'un écran monté sur un bracelet pour aller faire sa séance de course du matin.
Plutôt séduisante, l'idée se heurte toutefois encore à quelques obstacles. La recharge par exemple, dans la mesure où chacun de ces deux éléments embarque sa propre batterie. Sans parler de l'autonomie, sérieusement menacée par des usages énergivores et le maintien d'une liaison sans fil permanente entre les deux parties du combiné. « Nous envisagerons de le commercialiser dès que nous aurons résolu ces problèmes », conclut la souriante démonstratrice de Docomo.
Pourquoi séparer l'écran du clavier ? Pour NTT, un tel facteur de forme faciliterait la vie de l'usager, en lui permettant par exemple de passer une communication téléphonique avec la partie clavier tout en consultant ses emails, surfant sur Internet ou regardant la télévision sur l'écran tactile. Autre piste envisagée : la possibilité de moduler les éléments, en s'équipant par exemple d'un plus grand écran lorsqu'on souhaite jouer sur son mobile, ou d'un écran monté sur un bracelet pour aller faire sa séance de course du matin.
Plutôt séduisante, l'idée se heurte toutefois encore à quelques obstacles. La recharge par exemple, dans la mesure où chacun de ces deux éléments embarque sa propre batterie. Sans parler de l'autonomie, sérieusement menacée par des usages énergivores et le maintien d'une liaison sans fil permanente entre les deux parties du combiné. « Nous envisagerons de le commercialiser dès que nous aurons résolu ces problèmes », conclut la souriante démonstratrice de Docomo.