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Infogrames présentait aujourd'hui ses résultats pour le premier semestre fiscal 2004/2005. Des résultats nets largement déficitaires puisqu'il est question de 42.2 millions d'euros de pertes, contre « seulement » 9.8 millions l'an passé à la même date. Ce creusement s'explique toutefois par le bouclage d'une opération exceptionnelle (Nexgen), responsable à elle seule de quelques 16.7 millions d'euros de pertes. Le résultat d'expoitation est d'ailleurs un peu plus flatteur (pertes de 3.5 millions d'euros) et, surtout, supérieur aux estimations des spécialistes (pertes de 4.4 millions d'euros).
Malgré ces pertes et une baisse du chiffre d'affaires semestriel de l'ordre de 12% par rapport à 2003 (277 millions d'euros contre 314.9 millions l'an passé), Bruno Bonnell, PDG du groupe, reste confiant : il faut dire que l'activité semble avoir bien repris au second trimestre de l'année (+30.8 en Europe et en Asie, +18% aux Etats-Unis). Infogrames a également trouvé un moyen de dégager rapidement des liquidités, puisque l'éditeur a tout simplement vendu la franchise Civilization pour 22.3 millions de dollars. Un profit exceptionnel qui devrait doper les résultats au second semestre 2004/2005, mais qui surprendra de nombreux joueurs. L'histoire ne précise d'ailleurs pas qui est l'heureux acheteur de la célèbre série de jeux de stratégie.
Malgré ces pertes et une baisse du chiffre d'affaires semestriel de l'ordre de 12% par rapport à 2003 (277 millions d'euros contre 314.9 millions l'an passé), Bruno Bonnell, PDG du groupe, reste confiant : il faut dire que l'activité semble avoir bien repris au second trimestre de l'année (+30.8 en Europe et en Asie, +18% aux Etats-Unis). Infogrames a également trouvé un moyen de dégager rapidement des liquidités, puisque l'éditeur a tout simplement vendu la franchise Civilization pour 22.3 millions de dollars. Un profit exceptionnel qui devrait doper les résultats au second semestre 2004/2005, mais qui surprendra de nombreux joueurs. L'histoire ne précise d'ailleurs pas qui est l'heureux acheteur de la célèbre série de jeux de stratégie.
Tombé dans le jeu vidéo à une époque où il fallait une belle imagination pour voir ici un match de foot, là un combat de tanks dans ces quelques barres représentées à l'écran, j'ai suivi toutes les évolutions depuis quarante ans. Fidèle du PC, mais adepte de tous les genres, je n'ai du mal qu'avec les JRPG. Sinon, de la stratégie tour par tour la plus aride au FPS le plus spectaculaire en passant par les simulations sportives ou les jeux musicaux, je me fais à tout... avec une préférence pour la gestion et les jeux combinant plusieurs styles. Mon panthéon du jeu vidéo se composerait de trois séries : Elite, Civilization et Max Payne.
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