Retour vers le futur avec le Spinn d'iRiver

30 août 2008 à 14h20
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Le coréen iRiver exposait sur son stand le baladeur numérique Spinn. Tout en étant résolument haut de gamme, ce dernier dispose d'une molette de contrôle analogique et d'une interface utilisateur qui appuient un style résolument néo-rétro. Le contrôle de son interface se fait non seulement en utilisant cette Spinn Wheel mais aussi par le biais de son écran tactile AMOLED WQVGA de 3,3 pouces. L'interface se pare d'un côté rétro, reprenant le thème des vieux postes radio.

Les possibilités offertes par ce produit pesant seulement 70 grammes sont étendues. Il décode de nombreux formats (y compris l'OGG et le FLAC, le WMV et le MPEG 4), dispose de Flash Lite en version 2.1, ce qui lui permet de faire fonctionner des jeux en Flash, d'un tuner FM et d'un micro qui lui permet d'enregistrer la voix. Il comprend également un contrôleur Bluetooth mais son utilité n'a pas été précisée, de quoi connecter un casque stéréo Bluetooth AD2P ? Les fabricants semblent avoir définitivement compris que les logiciels propriétaires pour le transfert n'étaient pas bienvenus, aussi ce modèle se contente comme la plupart des derniers baladeurs d'un glisser-déposer.

Ce baladeur devrait être disponible au cours du mois d'octobre en versions 4 et 8 Go à des prix avoisinant 250 euros.

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iRiver a également profité du salon pour dévoiler un prototype d'appareil communiquant à écran tactile. Il s'agit d'un dispositif qui permet d'établir des conversations en visioconférence par Internet, de passer des appels en VoIP par le biais de son combiné sans fil ainsi que d'accéder à une sélection de services en ligne et de contenus multimédias. Ce dernier devrait être disponible en Europe en 2009 pour environ 500 euros.

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Romain Heuillard

C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...

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C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique. Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit. Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.

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