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Le portail et annuaire ! a récemment publié les résultats d'une enquête mondiale sur le courrier électronique, le spam en particulier.
La filiale française du portail et annuaire Yahoo! a récemment rendu publics les résultats d'une enquête mondiale sur l'e-mail, en particulier sur l'envoi massif de courriers électroniques commerciaux non sollicités ou "spam".
Cette enquête a été réalisée par le portail auprès de 37 000 utilisateurs du service gratuit de messagerie électronique Yahoo! Mail dans les pays suivants : Allemagne, Argentine, Australie, Brésil, Espagne, Etats-Unis, France, Grande-Bretagne, Hong-Kong (Chine), Italie et Japon.
L'objectif d'une telle investigation est à la fois de rassurer l'internaute sur la qualité du service proposé par Yahoo, et de permettre au portail d'améliorer Yahoo! Mail.
Premier constat, l'attitude des internautes face au spam diverge en fonction de leur pays d'origine.
Plus de la moitié des Japonais interrogés dans le cadre de cette étude indiquent envoyer des réponses "agressives" de rejet aux spammeurs. En revanche, les Français comme les Brésiliens affirment, dans leur grande majorité, ne jamais répondre à du "courrier indésirable."
Les internautes américains, de leurs côtés, sont plus nombreux que les autres à acheter des produits et services qui leurs sont proposés via du courrier électronique commercial non sollicité.
Dans chaque pays où cette investigation a été menée, la lutte contre le spam bat son plein ! L'Australie semble être le pays le plus actif sur ce terrain, et ce aussi bien pour le filtrage du "pourriel", que la suppression d'adresses e-mail. Les internautes allemands, américains et japonais privilégient la suppression directe.
En plus de submerger les messageries (ou boites aux lettres électroniques), le spam est un gros pourvoyeur de virus informatiques. Dans ces conditions, il n'est pas étonnant que plus de 70% des personnes interrogées soient équipées d'un anti-virus.
Enfin, la moitié des utilisateurs de Yahoo! Mail concernés par cette investigation se déclarent "satisfaits" du filtrage des spams proposé. Yahoo! peut-il mieux faire ?
La filiale française du portail et annuaire Yahoo! a récemment rendu publics les résultats d'une enquête mondiale sur l'e-mail, en particulier sur l'envoi massif de courriers électroniques commerciaux non sollicités ou "spam".
Cette enquête a été réalisée par le portail auprès de 37 000 utilisateurs du service gratuit de messagerie électronique Yahoo! Mail dans les pays suivants : Allemagne, Argentine, Australie, Brésil, Espagne, Etats-Unis, France, Grande-Bretagne, Hong-Kong (Chine), Italie et Japon.
L'objectif d'une telle investigation est à la fois de rassurer l'internaute sur la qualité du service proposé par Yahoo, et de permettre au portail d'améliorer Yahoo! Mail.
Premier constat, l'attitude des internautes face au spam diverge en fonction de leur pays d'origine.
Plus de la moitié des Japonais interrogés dans le cadre de cette étude indiquent envoyer des réponses "agressives" de rejet aux spammeurs. En revanche, les Français comme les Brésiliens affirment, dans leur grande majorité, ne jamais répondre à du "courrier indésirable."
Les internautes américains, de leurs côtés, sont plus nombreux que les autres à acheter des produits et services qui leurs sont proposés via du courrier électronique commercial non sollicité.
Dans chaque pays où cette investigation a été menée, la lutte contre le spam bat son plein ! L'Australie semble être le pays le plus actif sur ce terrain, et ce aussi bien pour le filtrage du "pourriel", que la suppression d'adresses e-mail. Les internautes allemands, américains et japonais privilégient la suppression directe.
En plus de submerger les messageries (ou boites aux lettres électroniques), le spam est un gros pourvoyeur de virus informatiques. Dans ces conditions, il n'est pas étonnant que plus de 70% des personnes interrogées soient équipées d'un anti-virus.
Enfin, la moitié des utilisateurs de Yahoo! Mail concernés par cette investigation se déclarent "satisfaits" du filtrage des spams proposé. Yahoo! peut-il mieux faire ?
