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La 46ème édition des Grammy Awards, cérémonie américaine de remise des trophées de la musique, a été l'occasion pour la National Academy of Recording Arts & Sciences (NARAS), alias Recording Academy, de lancer une nouvelle campagne contre le piratage et la copie illégale de musique.
Les Grammys restent le spectacle « toutes paillettes » de l'année du show business, dont 99% de business et 1% de show, comme l'a si bien souligné Janet Jackson, absente pour avoir dévoilé son sein à l'occasion du Super Bowl...
Entre deux trophées à la gloire du très lucratif hip hop, de BEYONCE à Justin TIMBERLAKE - qui a résisté à l'après Super Bowl, l'industrie américaine du disque a appelé une nouvelle fois au respect des droits d'auteur, et de la propriété intellectuelle.
En gros, la Recording Academy - à ne pas confondre avec la'Tar - estime que télécharger de la musique en ligne plutôt que d'acheter un cd, n'est pas un mauvais plan. Néanmoins, elle souhaite que cela se fasse à travers les circuits/réseaux de l'industrie du disque, et les plates-formes payantes sur lesquelles les majors telles que EMI et Sony ne craignent pas de diffuser leurs catalogues.
Lancée sur différentes medias, TV et Internet en tête, la nouvelle campagne de la Recording Academy tente d'expliquer à un public jeune à quel point le téléchargement illégal de musique en ligne est nuisible à l'industrie, à la production et par conséquent aux consommateurs.
Le message diffusé à la TV le soir des Grammys invite les internautes à visiter le site whatsthedownload.com (« qu'est-ce que le téléchargement ? »), un portail qui fait la promotion de services payants, de iTunes au nouveau Napster, et présente les avis d'artistes concernant les téléchargements gratuits sur les sites P2P (peer to peer).
Neil PORTNOW, Président de la Recording Academy, a insisté sur le fait que le site est dédié à l'information du grand public.
Créée en 1957, la NARAS ou Recording Academy est plus connue pour ses Grammy Awards que pour ses autres missions dédiées à la promotion du secteur de la musique, et à celle de ses créateurs.
Les Grammys restent le spectacle « toutes paillettes » de l'année du show business, dont 99% de business et 1% de show, comme l'a si bien souligné Janet Jackson, absente pour avoir dévoilé son sein à l'occasion du Super Bowl...
Entre deux trophées à la gloire du très lucratif hip hop, de BEYONCE à Justin TIMBERLAKE - qui a résisté à l'après Super Bowl, l'industrie américaine du disque a appelé une nouvelle fois au respect des droits d'auteur, et de la propriété intellectuelle.
En gros, la Recording Academy - à ne pas confondre avec la'Tar - estime que télécharger de la musique en ligne plutôt que d'acheter un cd, n'est pas un mauvais plan. Néanmoins, elle souhaite que cela se fasse à travers les circuits/réseaux de l'industrie du disque, et les plates-formes payantes sur lesquelles les majors telles que EMI et Sony ne craignent pas de diffuser leurs catalogues.
Lancée sur différentes medias, TV et Internet en tête, la nouvelle campagne de la Recording Academy tente d'expliquer à un public jeune à quel point le téléchargement illégal de musique en ligne est nuisible à l'industrie, à la production et par conséquent aux consommateurs.
Le message diffusé à la TV le soir des Grammys invite les internautes à visiter le site whatsthedownload.com (« qu'est-ce que le téléchargement ? »), un portail qui fait la promotion de services payants, de iTunes au nouveau Napster, et présente les avis d'artistes concernant les téléchargements gratuits sur les sites P2P (peer to peer).
Neil PORTNOW, Président de la Recording Academy, a insisté sur le fait que le site est dédié à l'information du grand public.
Créée en 1957, la NARAS ou Recording Academy est plus connue pour ses Grammy Awards que pour ses autres missions dédiées à la promotion du secteur de la musique, et à celle de ses créateurs.