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Pour NEC, les services de téléphonie mobile de troisième génération ne sont pas à l'abri des bugs, bien au contraire.
NEC estime que les services de téléphonie mobile de troisième génération (3G) seront perturbés par de nombreux problèmes informatiques.
Le fabricant japonais d'ordinateurs et d'équipements de télécommunication connaît actuellement de grandes difficultés avec les logiciels intégrés à ses combinés. La direction de NEC tient cependant à souligner que "de tels incidents techniques sont inévitables."
"Il est très difficile, voire impossible, d'éliminer les bugs d'un système logiciel aussi important" remarque le Président de NEC, Koji NISHIGAKI.
"Un combiné 3G est comme un ordinateur. Même chez NEC, nos spécialistes réseaux n'ont jamais développé un logiciel d'une taille aussi sensible" ajoute Koji NISHIGAKI.
NEC, qui se positionne comme l'un des principaux fournisseurs de combinés et d'infrastructures de réseaux de troisième génération, n'est même plus en mesure de livrer à temps ses gros clients dont British Telecom (qui a retardé la mise en place de son réseau 3G sur l'île de Man.)
Quant à l'opérateur japonais NTT DoCoMo, il avait repoussé la commercialisation de son offre 3G au 1er octobre 2001, au lieu du 30 mai. Koji NISHIGAKI estime malgré tout que l'opérateur ne devrait plus connaître de retards dans le lancement de ses services.
Mais l'optimisme a laissé place à la prudence inquiète chez le Président de NEC : "D'habitude, les tests d'équipement télécoms ne sont pas aussi complexes et il n'y en a pas tant."
"Dans le domaine informatique, les systèmes d'exploitation doivent être testés plus sérieusement et dans différentes conditions. La seule solution, c'est de faire tester les appareils par des clients et ensuite les envoyer sur le marché", conclut-il... Vent de panique ?
NEC estime que les services de téléphonie mobile de troisième génération (3G) seront perturbés par de nombreux problèmes informatiques.
Le fabricant japonais d'ordinateurs et d'équipements de télécommunication connaît actuellement de grandes difficultés avec les logiciels intégrés à ses combinés. La direction de NEC tient cependant à souligner que "de tels incidents techniques sont inévitables."
"Il est très difficile, voire impossible, d'éliminer les bugs d'un système logiciel aussi important" remarque le Président de NEC, Koji NISHIGAKI.
"Un combiné 3G est comme un ordinateur. Même chez NEC, nos spécialistes réseaux n'ont jamais développé un logiciel d'une taille aussi sensible" ajoute Koji NISHIGAKI.
NEC, qui se positionne comme l'un des principaux fournisseurs de combinés et d'infrastructures de réseaux de troisième génération, n'est même plus en mesure de livrer à temps ses gros clients dont British Telecom (qui a retardé la mise en place de son réseau 3G sur l'île de Man.)
Quant à l'opérateur japonais NTT DoCoMo, il avait repoussé la commercialisation de son offre 3G au 1er octobre 2001, au lieu du 30 mai. Koji NISHIGAKI estime malgré tout que l'opérateur ne devrait plus connaître de retards dans le lancement de ses services.
Mais l'optimisme a laissé place à la prudence inquiète chez le Président de NEC : "D'habitude, les tests d'équipement télécoms ne sont pas aussi complexes et il n'y en a pas tant."
"Dans le domaine informatique, les systèmes d'exploitation doivent être testés plus sérieusement et dans différentes conditions. La seule solution, c'est de faire tester les appareils par des clients et ensuite les envoyer sur le marché", conclut-il... Vent de panique ?
