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Trois studios de cinéma pourraient se lancer prochainement dans la diffusion de films via la toile.
On en parlait depuis un certain temps. Cela se confirme : prochainement plusieurs studios hollywoodiens vont proposer aux internautes de télécharger des films sur la toile.
Selon Jack Valenti, directeur général de Motion Picture Association of America (MPAA), association regroupant les grandes majors d'Hollywood, au moins trois studios proposeront ce service de vidéo à la demande (ou "pay-per-view") d'ici quatre à six mois. Sans citer le nom des sociétés concernées, il s'agirait probablement selon la presse de Sony Pictures Entertainment, filiale du japonais Sony, et de Walt Disney Co., propriétaire des studios Disney.
Le téléchargement rapide des films, cependant, demandera une connexion internet haut débit pour réduire le temps de téléchargement de plusieurs heures à une demi-heure et seulement quatre à cinq millions de foyers en disposent actuellement aux USA, estime Valenti.
Mais mettre en circulation des films sur le net sous une forme numérique pose bien sur la question du piratage, problème que l'industrie du disque a pu apprécier à sa juste valeur.
Jack valenti a ainsi expliqué que les films, téléchargeables sur la toile, pourraient être gravés sur un CD mais ils seront codés de telle sorte qu'on ne pourra les visionner qu'à partir de l'ordinateur où ils ont été téléchargés.
Les majors du cinéma auraient elles trouvé la parade pour éviter de devoir se lancer dans des batailles juridiques semblables à celle qui oppose Napster à l'industrie du disque ?
On en parlait depuis un certain temps. Cela se confirme : prochainement plusieurs studios hollywoodiens vont proposer aux internautes de télécharger des films sur la toile.
Selon Jack Valenti, directeur général de Motion Picture Association of America (MPAA), association regroupant les grandes majors d'Hollywood, au moins trois studios proposeront ce service de vidéo à la demande (ou "pay-per-view") d'ici quatre à six mois. Sans citer le nom des sociétés concernées, il s'agirait probablement selon la presse de Sony Pictures Entertainment, filiale du japonais Sony, et de Walt Disney Co., propriétaire des studios Disney.
Le téléchargement rapide des films, cependant, demandera une connexion internet haut débit pour réduire le temps de téléchargement de plusieurs heures à une demi-heure et seulement quatre à cinq millions de foyers en disposent actuellement aux USA, estime Valenti.
Mais mettre en circulation des films sur le net sous une forme numérique pose bien sur la question du piratage, problème que l'industrie du disque a pu apprécier à sa juste valeur.
Jack valenti a ainsi expliqué que les films, téléchargeables sur la toile, pourraient être gravés sur un CD mais ils seront codés de telle sorte qu'on ne pourra les visionner qu'à partir de l'ordinateur où ils ont été téléchargés.
Les majors du cinéma auraient elles trouvé la parade pour éviter de devoir se lancer dans des batailles juridiques semblables à celle qui oppose Napster à l'industrie du disque ?
